Nom : Inconnu
Prénom : Aléran'n
Âge : 142 ans mais il a l'air d'en avoir un vingtaine
Race : Elfe Blanc
Clan : Neutre
Adresse : De préférence une forêt mais n'importe où fais l'affaire.
Caractère :
Aléran'n est quelqu'un de très silencieux. Il ne vous parlera pas s'il n'a rien de capital à dire. Beaucoup trouve que ce trait de caractère le rend très ennuyeux. Mais le plus paradoxal, c'est que lorsqu'il prend la parole, tout le monde le croit et lui ferais confiance aveuglément. Avant, il n’était pas comme ça. C’était un barde et un conteur, mais depuis la disparition de sa fiancée, il a arrêté de chanter et de parler…
C'est quelqu'un de très curieux, qui se place toujours dans des situations impossibles à cause de ce gros défaut. Mais il a comme qui dirait un don qui lui permet de "sentir" les intentions des gens, ce qui met la plupart du monde mal à l'aise, mais ça l'a sortit de beaucoup des mauvaises postures et aventures qui lui arrive plus que souvent.
Il est près à tout pour aider sa famille et ses amis, qu'il les connaisse depuis des années ou seulement depuis quelques jours... Il se sacrifierait sans problème, sachant que la plupart du temps il peut se soigner grâce à sa propre magie.
Physique :
Aléran’n est assez grand, et plutôt fin. Il paraît plus frêle qu’il n’est réellement et généralement, on sous-estime ses talents. La force physique ne lui pas indispensable, puisqu’il maîtrise la magie, mais il a pour philosophie « Un esprit sain dans un corps sain ». Il a un tatouage au milieu du torse : c’est une sorte de croissant de lune rouge, hérissé de symboles, et en dessous, on voit une patte de loup. Ce tatouage a une signification particulière, connu par Aléran’n et peu d'autres personnes... Son visage est à l’image de son corps : fin. Et un brin féminin… Il a de fines lèvres, des yeux verts qui change parfois de couleur ( suivant son humeur ) et bien entendu des oreilles pointues. Ses cheveux châtains, coupé au niveau des épaules, reviennent souvent sur son visage.
Généralement, il porte un pantalon en toile épaisse vert-brun et une chemise blanche, mais on peut toujours voir la partie supérieur de son tatouage. Bien qu’il ne chante plus, il n’a jamais pu lâcher sa mandoline qu’il garde dans son dos. Il a aussi une vieille sacoche en bandoulière dans lequel il range tout ce qui lui plait : des plantes, des cailloux, des objets… et aussi ses provisions, sa gourde, le peu d’argent qu’il a… Son épée courte elfique pend à son côté droit. Le fait qu’il soit gaucher déstabilise les adversaires les moins doués, ce qui compense parfois son manque de technique. Mais cette dernière est bien en vue seulement pour écarter les gens mal-intentionnés. Des symboles sont gravés sur la lame en argent.
Histoire :
Aléran’n fait partie d’une vieille famille de magicien elfe. Il a hérité du don de son père pour la magie même s’il n’a jamais vraiment apprécié de s’en servir. Son enfance s’est passée dans le calme des études. Son père se chargea de lui apprendre la magie, même s’il s’énervait à cause du peu de concentration et d’intérêt que portait Aléran’n à la magie. Cependant, il était assez doué. Surtout pour l’art de la guérison et avec la magie passive. Lorsqu’il s’exprimait, il captivait les foules. On entendait dans ses récits le bruit du vent dans les feuilles, le pas feutré du loup dans les sous-bois, le bruit des batailles héroïques. Et il avait une prestance d’orateur. C’est pourquoi sa mère lui appris le métier de barde et de ménestrel. Il appris à jouer sur une mandoline qui depuis ne le quitte plus. Rien ne troubla ces années de bonheur dans son village au milieu de la forêt.
Quand il eut 30 ans, il décida de partir de son village, de voyager en tant que ménestrel. Il partit donc, allant de villages en villages, passant quelques jours dans des château ou des forteresses. Il voyagea ainsi pendant 70 ans, repassant au minimum une fois par an dans son village natal. Il fut même surnommé Lémyann ce qui grossièrement traduit veut dire « celui à la voix de miel et d’or ».
Alors qu’il parcourait de nouveau ses terres natales, Aléran’n, alors âgé de 102 ans, vint au secours d’une jeune Elfe entourée par deux démons à l’air farouche. Il se servit de sa magie blanche, ce qui fit fuir l’un des deux, mais l’autre dégaina sa grande épée. Aléran’n posa sa mandoline et dégaina lui aussi. Le combat ne dura pas longtemps… Le démon, après un mouvement imprudent, se retrouva avec l’épée en argent planté dans le cœur. La jeune demoiselle était sous le choc. Il l’emmena, en la portant à moitié jusque chez ses parents. Lorsqu’elle reprit ses esprits, bah ce fut le coup de foudre.
Après cela Aléran’n cessa de voyager et il resta auprès de Nétia. Il s’installèrent dans un petit village, situé à mi chemin entre ceux de leur parents respectifs. Ils vivaient tranquillement, profitant de la vie, de la forêt, de tout en fait… Jusqu’au jour où la guerre atteignit leur région. Des hordes de démons et d’elfes noirs s’abattirent dans leur paisible forêt.
Au petit matin, leur village fut attaqué. De jeunes elfes prirent leurs arcs et leurs épées, fortement décidé à repousser ce petit groupe d’ennemis. Les elfes noir furent bientôt criblé de flèches, et il ne resta plus qu’une dizaine de démons. Ils tinrent toute la journée, les repoussant, puis reperdant du terrain. Lorsqu’un jeune elfe d’une vingtaine d’année fut tuer, Aléran’n décida d’intervenir : il lança un défi aux démons proposant que le gagnant du combat gagnerait le village. Un démon s’avança. Il était vêtu de noir, une immense cicatrice séparait son œil en deux. Il rayonnait de magie démoniaque. Aléran’n se dit qu’il avait peut être eut tord, mais il engagea quand même le combat.
Le démon se servait d’une magie brute et sans aucune finesse. Aléran’n lui le laissait s’épuiser, sans utiliser de magie, le touchant de son épée au moindre faux pas. Le démon s’essoufflait et on sentait qu’il était épuiser. Le duel durait depuis une heure, et la nuit était tombé. La pleine lune commençait à décroître. Le démon tenta une dernière fois d’utiliser sa magie. Aléran’n répliqua, s’avança puis planta son épée dans le cœur du démon. Celui-ci avant de mourir lança une puissante malédiction qui frappa Aléran’n, le laissant à terre, le souffle coupé. Sa chemise était tâché de sang au milieu de son torse. Et il perdit connaissance.
Les démons voulurent quand même envahir le village. Mais le magicien l’avait prévu : sa magie blanche jaillit, projetant à terre les démons. Ces derniers s’enfuirent alors.
A son réveil, Aléran’n se trouvait dans sa maison. Il se souvint du sort qu’il l’avait touché et regarda immédiatement son torse. Son sang avait coaguler, mais il formait une sorte de tatouage. Malgré ses connaissances en magie, il lui fut impossible de s’en débarrasser. Mais le plus inquiétant était qu’il ne savait pas quel était l’effet de cette malédiction. Il décida d’aller voir son père. Peut être qu’il en saurait plus.
Après ce voyage qui ne servit à rien, il rentra chez lui. Il trouva le village en ruine : il se précipita dans toutes les maisons mais ne trouva personne. Tout était saccagé, pillé. Ces barbares avaient détruit leur temple. Mais le lus étrange, c’est qu’il ne voyait aucune trace de sang… Ou tout du moins très peu. Il chercha aux alentour. Et ce fut un elfe rescapé qui le trouva. Il lui raconta l’attaque par les elfes noirs, qui avec l’aide d’un puissant sorcier, avait brisé sa protection. Et ensuite, ils avaient emmenés ceux qui n’avaient pas put s’enfuir et avaient tuer les fuyards qu’ils avaient retrouvé. Sa fiancé faisait partit des futurs esclaves.
Aléran’n parti à leur poursuite. Il fut aider par quelques chasseurs elfiques qui l’orientèrent sur leur trace. Il arriva à les rattraper la nuit de la pleine lune. Et il préféra attendre le matin avant de les attaquer. Il s’endormit donc, d’un sommeil beaucoup trop profond vu l’état de peur dans lequel il était…
A son réveil, le camp était dévasté. Beaucoup d’elfe noirs étaient mort, d’énormes trace de morsure sur le corps. Son tatouage le brûlait sauvagement. Mais le plus étrange était que tous les elfes qu’il avait vu emprisonné la veille était tous libres. Aucun d’eux n’étaient blessés. Mais sa fiancée n’était pas parmi eux. Elle avait était enlevé par l’étrange sorcier, dont personne n’avait vu le visage.
Depuis, Aléran’n parcourt les terres, à la recherche de sa fiancée. Chaque nuit de pleine lune, il fuit la civilisation, et se retrouve généralement à un endroit différent le matin. La malédiction prend de l’ampleur, car parfois, cela lui arrive aussi à la nouvelle lune.
En cours d'écriture ^^
Mer 14 Nov - 18:07